«Peindre, c’est accepter de descendre un fleuve sans savoir où il va nous mener".
À l’instar des peintres arpenteurs du XIXe siècle ayant effectué le Great-tour, les différents séjours en Inde et en Amériques Centrale d' Eric Roux Fontaine forment le substratum de sa peinture, (c’est à dire le support pour atteindre autre chose).Il y a un mouvement de balancier entre le travail effectué dans la solitude de l'atelier et le besoin de "confronter" sa peinture au monde, comme pour en éprouver sa résistance, c'est cela et bien d'autres choses encore qu'il cherche, isolé dans sa cabane au cœur des jungles d'Amérique Centrale.